Erreur... Erreur qui coûte cher...
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Erreur... Erreur qui coûte cher...
Julien Atalay Sam 20 Sep - 21:28
PDV Julien.
C'était de bon matin. Je m'étais levé, je n'avais pas osé réveiller Angele qui dormait encore, c'était cruel de réveiller quelqu'un qui dort aussi profondément. Il s'était glissé dehors. Il s'avérait qu'il y avait une minne dans le terrain à côté, et qu'un enfant risquait d'être bléssé... On m'avait demandé d'aller vite m'en débarrasser. j'avai accepté, un peu de mal a refuser.
J'avançais donc prudemment dans le terrain. j'approchais d'une mine. Je n'avais pas le choix, il fallait que je me concentre. Il me fallut une bonne demie heure pour me calmer. Puis, couché à côté de la mine, je parvins avec beaucoup de délicatesse à l'ouvrir. La mine était désarmorcée. Je la prit pour la lancer plus loin et la faire exploser en plein vol plus loin.
C'était fait. Je me redressait pour m'essuyer de la poussière. J'étais trempé de sueur, être aussi pres de la mort était une énorme montée d'adrénaline, même pour un soldat dans l'armée de terre. J'avais finit de m'essuyer. Je fis un signe de main aux soldats plus loin. Je me mit à marcher.
Clic....
Ce petit bruit à peine audible était très mauvais signe. Je regardait mon pieds droit... J'avais marché sur une autre minne que je n'avais pas vu, et je l'avais amorcé. Un soldat s'approcha de moi, il avait comprit.
- Julien...
- Ecoute, retourne la bas... Fais rentrer les enfants...
Dis-je. Le soldat partit.... Je le regardait partir... Que puis-je faire en fait ? Rien... Je regardait mon pieds, une seule solution s'offrait à moi... Je pris une grande inspiration... Je fit soudainement un brusque pas en avant, mais je n'eut le temps de faire que 5-6 pas grâce à ma vitesse que je prit l'explosion...
Cette douleur, j'avais mal, la chaleur, la dureté aussi... Rien ne semblait pouvoir arrêter ma course folle. Déjà j'étais faible. Il me fallut une seconde ou deux à peine de vol avant d'attérir contre un mur. Après avoir traversé un grillage entier, c'est un mur qui m'attéretait ? Et bien.
Je ne me rappelle plus trop en fait. J'ai pris le mur puis... Le noir complet.
J'ouvre les yeux avec peine... Je suis là, debout, dans une salle... Cette salle, carrée... C'est l'infirmerie. Je suis là simplement, je me demande ce que j'y fais. Je ne sait pas, cette salle semble vide, je ne vois qu'un lit avec quelqu'un dedans. Qui que ce soit, je m'en fiche complètement... Je suis là, même si je ne sais pas pourquoi.
C'était de bon matin. Je m'étais levé, je n'avais pas osé réveiller Angele qui dormait encore, c'était cruel de réveiller quelqu'un qui dort aussi profondément. Il s'était glissé dehors. Il s'avérait qu'il y avait une minne dans le terrain à côté, et qu'un enfant risquait d'être bléssé... On m'avait demandé d'aller vite m'en débarrasser. j'avai accepté, un peu de mal a refuser.
J'avançais donc prudemment dans le terrain. j'approchais d'une mine. Je n'avais pas le choix, il fallait que je me concentre. Il me fallut une bonne demie heure pour me calmer. Puis, couché à côté de la mine, je parvins avec beaucoup de délicatesse à l'ouvrir. La mine était désarmorcée. Je la prit pour la lancer plus loin et la faire exploser en plein vol plus loin.
C'était fait. Je me redressait pour m'essuyer de la poussière. J'étais trempé de sueur, être aussi pres de la mort était une énorme montée d'adrénaline, même pour un soldat dans l'armée de terre. J'avais finit de m'essuyer. Je fis un signe de main aux soldats plus loin. Je me mit à marcher.
Clic....
Ce petit bruit à peine audible était très mauvais signe. Je regardait mon pieds droit... J'avais marché sur une autre minne que je n'avais pas vu, et je l'avais amorcé. Un soldat s'approcha de moi, il avait comprit.
- Julien...
- Ecoute, retourne la bas... Fais rentrer les enfants...
Dis-je. Le soldat partit.... Je le regardait partir... Que puis-je faire en fait ? Rien... Je regardait mon pieds, une seule solution s'offrait à moi... Je pris une grande inspiration... Je fit soudainement un brusque pas en avant, mais je n'eut le temps de faire que 5-6 pas grâce à ma vitesse que je prit l'explosion...
Cette douleur, j'avais mal, la chaleur, la dureté aussi... Rien ne semblait pouvoir arrêter ma course folle. Déjà j'étais faible. Il me fallut une seconde ou deux à peine de vol avant d'attérir contre un mur. Après avoir traversé un grillage entier, c'est un mur qui m'attéretait ? Et bien.
Je ne me rappelle plus trop en fait. J'ai pris le mur puis... Le noir complet.
J'ouvre les yeux avec peine... Je suis là, debout, dans une salle... Cette salle, carrée... C'est l'infirmerie. Je suis là simplement, je me demande ce que j'y fais. Je ne sait pas, cette salle semble vide, je ne vois qu'un lit avec quelqu'un dedans. Qui que ce soit, je m'en fiche complètement... Je suis là, même si je ne sais pas pourquoi.
Julien Atalay- Admin
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Date d'inscription : 07/08/2008
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Re: Erreur... Erreur qui coûte cher...
Angele Sam 20 Sep - 21:32
Angèle était restée pour surveiller les enfants lorsque cela c’était passée. Elle aurait du combattre, mais sa faisait quelques jours qu’elle n’était pas très bien. Un ami courra vers elle, en lui annonçant que Julien avait été blessé. Angèle avait immédiatement cessée le travail, en passant le relet à cet ami.
Elle courrait à présent, vers la salle qu’on lui avait indiquée… Elle voulait ouvrir brusquement tellement la nouvelle lui avait fait un choc, mais sa main fut retenu par une infirmière, qui était une jeune fille d’à peine 18 ans, et très amie avec elle. Elle se nommé Mélodie, un prénom poétique.
Mélodie : - Calme-toi Angèle…
En effet, Angèle perdait de son sang froid habituel. Alors, écoutant son amie, elle se reprit.
Angèle :- Que c’est t-il passé ?
Mélodie : - Il n’a pas vu une mine…
Angèle :- …
Mélodie : - Il est dans le coma…
Angèle resta un instant sans bouger, comme si elle c’était transformé en statue. Des larmes coulèrent, sans savoir si elle les avait provoqués, mais ce fut confirmé car ses lèvres se mirent à trembler…
Elle entra, plus doucement cette fois, et elle vit Julien, allongé sur le lit. Elle posa une main sur sa bouche, sentant à présent qu’elle pleurait. Mais elle ne voulait pas s’effondrer et paraître faible.
De son cotés, Mélodie semblait préoccupé, car une autre nouvelle attendait Angèle. Bonne ou mauvaise ? Sa, c’est à vous de voir.
Angèle s’approcha du lit de Julien, elle se laissa tomber, sans violence, sur les genoux, et attrapa sa main.
- Pourquoi le monde, est si cruel ?
Elle se retourna vers Mélodie, la regardant, Mélodie s’approcha d’elle, elle posa une main sur son épaule.
Mélodie : - J’aimerais autant que toi que cette guerre se termine… Mais il ne faut pas se laisser aller.
Angèle : - Tant qu’il restera à Julien un espoir de vivre, je ne me laisserais pas aller, peu importe la situation…
Après une brève hésitation, Mélodie lança :
Mélodie : - Alors je peux t’en parler ?
Angèle : - me parler de quoi ?
Angèle, toujours en tenant la main de Julien, se tourna un peu pour regarder Mélodie. Celle-ci souri, mais elle semblait soucieuse.
Mélodie : - Angèle, je te conseille de t’asseoir…
Angèle, n’insistant pas, s’aseilla, elle savait quand il fallait écouter, et Mélodie, il fallait l’écouter, elle avait toujours raison.
Mélodie : - Tu te souviens que tu m’avais dit que tu avais mal au ventre, des nausées et tous sa ?
Angèle : - Oui, et alors ?
Mélodie : - Et ben tu sais on n’a fait des examens…
Angèle : - J’ai une maladie grave ?
Mélodie : - Pas tous à fait tu… Tu es enceinte Angèle…
Angèle resta un instant interloquée. L’envie de pleurer ? De mourir ? De se faire mal ? Même pas.
Angèle : - Je m’en doutais…
Elle soupira, mais effectivement, elle s’en doutait que c’était une possibilité. Vu les circonstances. Mais comment l’avouer à Julien ? Car effectivement, elle ne le voyait pas, elle ne l'entendait pas. Elle ne voyait que son corps dans un profond coma. Elle ne stressa pas, elle se promit de rester forte peu importe la situation non ?
Mélodie : - Sa va ?
Angèle : - Ben oui pourquoi ?
Mélodie : - Je viens de te dire que tu es enceinte, tu m’as entendu ?
Angèle : - Ben oui je t’es entendu !
Mélodie : - Et sa ne te fais rien ?
Angèle : - Tu veux peu être que je saute d’un toit ?
Mélodie : - Nan sa irra mais je ne m’attendais pas à te voir si froide…
Angèle : - Je te l’est dit, tant qu’il a une chance de vivre… Je vis
Mélodie : - Vous vivez nuance
Angèle : - Oui bon sa va… Combien de mois ?
Mélodie : - Deux aprioris, environs…
Angèle : - Ouais sa colle…
Angèle soupira. Puis elle regarda Mélodie.
Angèle : - Est-ce que tu peux me laisser seul ?
Mélodie : - Oh … Bien sur !
Angèle : - Merci !
Mélodie sorti de la chambre. Et Angèle laissa un peu aller ses larmes. Pour Julien… Elle avait peur qu’il parte…
Elle courrait à présent, vers la salle qu’on lui avait indiquée… Elle voulait ouvrir brusquement tellement la nouvelle lui avait fait un choc, mais sa main fut retenu par une infirmière, qui était une jeune fille d’à peine 18 ans, et très amie avec elle. Elle se nommé Mélodie, un prénom poétique.
Mélodie : - Calme-toi Angèle…
En effet, Angèle perdait de son sang froid habituel. Alors, écoutant son amie, elle se reprit.
Angèle :- Que c’est t-il passé ?
Mélodie : - Il n’a pas vu une mine…
Angèle :- …
Mélodie : - Il est dans le coma…
Angèle resta un instant sans bouger, comme si elle c’était transformé en statue. Des larmes coulèrent, sans savoir si elle les avait provoqués, mais ce fut confirmé car ses lèvres se mirent à trembler…
Elle entra, plus doucement cette fois, et elle vit Julien, allongé sur le lit. Elle posa une main sur sa bouche, sentant à présent qu’elle pleurait. Mais elle ne voulait pas s’effondrer et paraître faible.
De son cotés, Mélodie semblait préoccupé, car une autre nouvelle attendait Angèle. Bonne ou mauvaise ? Sa, c’est à vous de voir.
Angèle s’approcha du lit de Julien, elle se laissa tomber, sans violence, sur les genoux, et attrapa sa main.
- Pourquoi le monde, est si cruel ?
Elle se retourna vers Mélodie, la regardant, Mélodie s’approcha d’elle, elle posa une main sur son épaule.
Mélodie : - J’aimerais autant que toi que cette guerre se termine… Mais il ne faut pas se laisser aller.
Angèle : - Tant qu’il restera à Julien un espoir de vivre, je ne me laisserais pas aller, peu importe la situation…
Après une brève hésitation, Mélodie lança :
Mélodie : - Alors je peux t’en parler ?
Angèle : - me parler de quoi ?
Angèle, toujours en tenant la main de Julien, se tourna un peu pour regarder Mélodie. Celle-ci souri, mais elle semblait soucieuse.
Mélodie : - Angèle, je te conseille de t’asseoir…
Angèle, n’insistant pas, s’aseilla, elle savait quand il fallait écouter, et Mélodie, il fallait l’écouter, elle avait toujours raison.
Mélodie : - Tu te souviens que tu m’avais dit que tu avais mal au ventre, des nausées et tous sa ?
Angèle : - Oui, et alors ?
Mélodie : - Et ben tu sais on n’a fait des examens…
Angèle : - J’ai une maladie grave ?
Mélodie : - Pas tous à fait tu… Tu es enceinte Angèle…
Angèle resta un instant interloquée. L’envie de pleurer ? De mourir ? De se faire mal ? Même pas.
Angèle : - Je m’en doutais…
Elle soupira, mais effectivement, elle s’en doutait que c’était une possibilité. Vu les circonstances. Mais comment l’avouer à Julien ? Car effectivement, elle ne le voyait pas, elle ne l'entendait pas. Elle ne voyait que son corps dans un profond coma. Elle ne stressa pas, elle se promit de rester forte peu importe la situation non ?
Mélodie : - Sa va ?
Angèle : - Ben oui pourquoi ?
Mélodie : - Je viens de te dire que tu es enceinte, tu m’as entendu ?
Angèle : - Ben oui je t’es entendu !
Mélodie : - Et sa ne te fais rien ?
Angèle : - Tu veux peu être que je saute d’un toit ?
Mélodie : - Nan sa irra mais je ne m’attendais pas à te voir si froide…
Angèle : - Je te l’est dit, tant qu’il a une chance de vivre… Je vis
Mélodie : - Vous vivez nuance
Angèle : - Oui bon sa va… Combien de mois ?
Mélodie : - Deux aprioris, environs…
Angèle : - Ouais sa colle…
Angèle soupira. Puis elle regarda Mélodie.
Angèle : - Est-ce que tu peux me laisser seul ?
Mélodie : - Oh … Bien sur !
Angèle : - Merci !
Mélodie sorti de la chambre. Et Angèle laissa un peu aller ses larmes. Pour Julien… Elle avait peur qu’il parte…
Angele- Admin
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Re: Erreur... Erreur qui coûte cher...
Julien Atalay Sam 20 Sep - 21:46
J'étais là, la porte s'ouvrit, je m'approcha en courant. j'aperçut Angele... Elle se mit à pleurer... mais pourquoi ? jene comprenais pas. Je me mit à marcher. Je voulait la prendre dans mes bras mais... je la traversa. Quoi ?! C'était quoi ce délire ?! je ne comprenait pas. Elle s'asseya, pour attraper la main de quelqu'un.
Que se passait-il ici ? Je ne comprenait plus. Je m'approcha du lit, qui était couché dedans ? C... C'était moi ? Je recula sèchement avant de tomber en arrière. Aie ! Je traverse Angele, elle me voit pas mais j'arrive à me faire mal. Abbatu, j'avançais jusq'uau mur. Je m'appuya contre celui-ci puis me laissa tomber assis par terre...
J'entendais la scène, je me mit à pleurer en faire... angele était enceinte ? Pardonnez-moi de ne pas sauter de joie. Je pleurais, comme un gosse qui apprends que son chien est mort, je ne retenais pas mes larmes.
- Angele! Je suis un imbécile, pardonne moi d'être si nul !
Que se passait-il ici ? Je ne comprenait plus. Je m'approcha du lit, qui était couché dedans ? C... C'était moi ? Je recula sèchement avant de tomber en arrière. Aie ! Je traverse Angele, elle me voit pas mais j'arrive à me faire mal. Abbatu, j'avançais jusq'uau mur. Je m'appuya contre celui-ci puis me laissa tomber assis par terre...
J'entendais la scène, je me mit à pleurer en faire... angele était enceinte ? Pardonnez-moi de ne pas sauter de joie. Je pleurais, comme un gosse qui apprends que son chien est mort, je ne retenais pas mes larmes.
- Angele! Je suis un imbécile, pardonne moi d'être si nul !
Julien Atalay- Admin
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Re: Erreur... Erreur qui coûte cher...
Angele Sam 20 Sep - 21:51
Angèle resta un instant à pleurer, elle ne pensait pas encore à sa situation, la seul personne dans son coeur en ce moment c'était Julien.
- Ne me laisse pas je t'en pris Julien... Pas maintenant...
Puis elle s'écouta soudain, oui elle était enceinte, et le futur allez lui faire peur. Que faire d'ailleurs? En pleine guerre avorté? Bof hein, je ne crois pas qu'il y a un super hôpital au coin de la rue!
Allez t-elle donc devoir mettre cette enfant au monde? Sa lui faisait peur, mais ce qui lui faisait le plus peur en ce moment... C'était Julien. Quand elle entendit résonnais dans sa tête quelques mots, pas toute la phrase seulement:
" Angele... si nul... "
- Hein? Julien?
Elle croyait devenir Folle.
- Ne me laisse pas je t'en pris Julien... Pas maintenant...
Puis elle s'écouta soudain, oui elle était enceinte, et le futur allez lui faire peur. Que faire d'ailleurs? En pleine guerre avorté? Bof hein, je ne crois pas qu'il y a un super hôpital au coin de la rue!
Allez t-elle donc devoir mettre cette enfant au monde? Sa lui faisait peur, mais ce qui lui faisait le plus peur en ce moment... C'était Julien. Quand elle entendit résonnais dans sa tête quelques mots, pas toute la phrase seulement:
" Angele... si nul... "
- Hein? Julien?
Elle croyait devenir Folle.
Angele- Admin
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